Découvrez les portraits de six citoyens engagés dans la transition écologique à Esch-sur-Alzette.
Ces bénévoles inspirants participent activement à divers projets menés par Transition Minett, contribuant ainsi à construire un avenir plus durable pour leur communauté. Rencontrez-les à travers ces témoignages et plongez dans leurs initiatives variées, porteuses de changement.
Engagement et passion : Rencontre avec Céline et Jonathan, bénévoles à d’Haus Vum Vëlo de Belval
C’est à la gare de Belval qui abrite la Maison du Vélo que nous rencontrons Céline et Jonathan. Ces deux passionnés consacrent leur temps libre, surtout le soir et le weekend, à aider les habitant.e.s à devenir autonomes dans la réparation de leurs vélos. Après Stockholm, Céline est installée à Esch depuis trois ans et travaille à temps plein en tant qu’ingénieure spécialisée dans la qualité de l’air et l’agriculture. Jonathan, quant à lui, est programmeur informatique et habite à Esch depuis quatre ans. Pour Céline, « le bénévolat est une manière de continuer à apprendre et de partager » tandis que Jonathan ajoute : « Après une journée derrière un écran, c’est essentiel de se connecter aux gens et de pratiquer des activités manuelles. »
La genèse d’un projet collectif
C’est lors de la première rencontre du Collectif citoyen pour le climat, organisée par Transition Minett, en décembre 2022 que Céline et Jonathan se rencontrent pour la première fois. Passionnés par le vélo et les enjeux de la mobilité douce, ils décident avec d’autres citoyen.ne.s engagé.e.s, notamment les participant.e.s de Vélorution, de co-fonder un groupe dédié à la création de la 1ère Maison du Vélo. « On a vu qu’il y avait un besoin évident de services de réparation à Esch. L’idée était simple : offrir un espace où chacun peut apprendre à réparer son vélo et devenir autonome », explique Céline.
Un engagement riche de défis et de satisfaction
Trouver un local pour la Maison du Vélo a été un obstacle majeur. Mais grâce à leur persévérance et au soutien de la communauté, ils ont réussi à lancer ce projet. « Maintenant, le défi est de pérenniser l’idée. Il faut du temps, de l’énergie, d’autres bénévoles et des financements », souligne Jonathan. Malgré les défis, ils décrivent leur engagement comme profondément enrichissant. « On apprend énormément, on se fait des amis, et on partage des moments uniques avec des gens de tous horizons », s’enthousiasme Céline qui se rappelle entre autres de la balade à vélo avec la Ministre de la mobilité. « Voir la reconnaissance et le sourire de ceux qui réussissent à réparer leur vélo est une récompense très motivante pour le temps consacré à ce projet » ajoute Jonathan. Parmi leurs ambitions pour la Maison du Vélo, Céline et Jonathan souhaitent développer des ateliers thématiques, proposer la location de vélos électriques, et même explorer des initiatives d’upcycling pour donner une seconde vie aux vélos usagés.
« Ce n’est pas qu’une question de vélos, c’est une manière de repenser la mobilité et de réduire notre empreinte écologique, tout en créant des liens. »
Pour ceux qui hésitent à franchir le pas, Céline partage ce conseil : « N’attendez pas d’être expert. L’important, c’est d’avoir envie d’apprendre et de contribuer. »
« On ne se rend pas compte de tout ce qu’on peut accomplir avant de commencer. », ajoute Jonathan.
La Maison du Vélo incarne une transition écologique en action, portée par des citoyens ordinaires aux idées extraordinaires. Grâce à des bénévoles comme Céline et Jonathan, le mouvement pour une mobilité douce continue de prendre de l’ampleur à Esch-sur-Alzette.
Marie, une vie dédiée aux droits humains et animaliers
Mariée et mère de quatre enfants, Marie* partage avec nous son expérience riche et inspirante en tant que citoyenne engagée. À l’aube de la retraite, cette psychologue de profession, également active dans l’association Naledi pour l’adoption d’enfants sud-africains, prépare bénévolement les parents candidats avant leur voyage et première rencontre d’enfants, ensuite les encadre lors de leur accueil au Luxembourg.
Marie consacre son temps et son énergie à des causes qui lui tiennent à cœur, principalement les respect des droits humains et animaliers. Depuis deux ans, Marie est impliquée à la MESA dans des actions bénévoles variées, notamment dans le groupe CCC pour la cuisine végane où elle partage ses délicieuses recettes.
« Je veux changer le monde, et quand je serai à la retraite, je pourrai m’engager encore plus. »
En plus de cela, Marie s’engage pour des projets humanitaires pour les enfants en Ouganda, comme l’installation de toilettes. Elle apporte également un soutien psychologique aux prisonniers politiques en Turquie à travers des lettres. Elle partage même une anecdote amusante : « Je collais un téléphone rouge, symbole de résilience, sur mes lettres envoyées en prison, mais cela a été refusé par les sécurités. Ils pensaient que c’était un message caché ! »
Un cheminement marqué par des déclics
Le parcours de Marie a été façonné par des moments marquants. L’un des plus forts a été lorsqu’elle a pris conscience de la souffrance animale dans l’industrie laitière, ce qui l’a menée à adopter un mode de vie végane avec toute sa famille. « Voir une vache perdre son veau pour que nous ayons du lait a été un choc. Aujourd’hui, c’est plus facile de trouver des alternatives, et cela a tout changé pour nous. » Parmi les projets qu’elle aimerait développer, Marie imagine des ateliers de cuisine végane à La MESA, mais aussi des rencontres pour connecter les gens, comme un petit-déjeuner végane avec les réfugiés. Ces initiatives reflètent son désir d’unir les communautés et de promouvoir des pratiques plus durables.
Marie connaissait la Mesa où elle venait manger de temps en temps avec son mari, mais le déclic pour s’engager dans un groupe CCC est venu lorsqu’elle a rencontré d’autres personnes véganes lors d’une activité organisé avec Amnesty international à la MESA.
Avec une telle énergie et des projets concrets, Marie est une source d’inspiration, pour qui l’engagement est une aventure collective et personnelle : « Mon mari, toujours actif, me soutient énormément. Cela rend tout plus facile. » Elle conclut en encourageant chacun.e à agir à son échelle : « N’attendez pas. Ce sont toujours les individus qui changent le monde et les petites actions qui font les grandes différences. » Elle insiste sur le fait que l’engagement ne nécessite pas d’être expert : « On apprend sur le tas, et les compétences viennent avec l’expérience. » S’engager a apporté à Marie bien plus que ce qu’elle imaginait : des amitiés profondes, une satisfaction personnelle, et la conviction que chaque action compte.
Envie de rejoindre Marie et de contribuer à un monde meilleur ?
La MESA et ses initiatives sont là pour vous accueillir !
*Christiane Marie, qui préfère être appelée juste Marie, comme son autre prénom fait référence à une religion. Pour elle, Marie est un peu plus neutre, elle ne veut pas être identifiée à une religion quelle qu’elle soit.
Véro et son engagement pour le second-hand
À 32 ans, Véro, éducatrice en formation et habitante de Strassen, nous raconte son parcours de bénévole et son engagement au sein de Transition Minett (TM). Passionnée de yoga, de pilates, et sensible aux enjeux écologiques, elle conjugue avec brio ses activités professionnelles, créatives et bénévoles. Nous l’avons rencontrée au « Marché de Noël autrement » organisé par TM avec les habitants où Véro a tenu un stand de second hand avec sa maman.
Depuis près de 10 ans, Véro s’implique dans des associations. Son aventure avec TM a débuté grâce à un vide-dressing organisé au Brill. Séduite par l’idée de promouvoir le second-hand et de donner une seconde vie aux objets, elle a rejoint l’équipe de bénévoles de TM pour aider lors des événements. « Quand ça te plaît, tu trouves le temps. C’est génial de voir de nouvelles personnes arriver, cela motive ! », confie-t-elle.
Véro se définit comme citoyenne engagée, mais avec modestie : » je peux toujours faire plus ! ». Elle note également qu’à Strassen, les opportunités d’engagement écologique sont moins nombreuses qu’à Esch-sur-Alzette, ce qui l’a motivée à rejoindre TM.
Au fil de ses missions, elle a découvert un espace convivial : « On s’entraide, on partage les tâches, et tout se fait dans la bonne humeur. Si quelqu’un est indisponible, il n’y a pas de souci, chacun fait de son mieux. »
Pour Véro, s’engager, c’est bien plus que donner de son temps. Elle y trouve de la joie, de la reconnaissance, et l’opportunité d’apprendre et de s’identifier autrement que par son travail. « J’ai appris à mieux m’organiser, à être flexible, et à trouver des solutions. »
Véro rêve de voir les vide-dressings gagner en popularité et d’aider à casser les préjugés sur le second-hand. Elle imagine des événements adaptés aux saisons, aux besoins particuliers, et accessibles à tou.te.s. « Le second-hand doit devenir encore plus populaire, c’est une action positive pour la planète. »
Véro invite chacun.e à se renseigner et à ne pas hésiter à franchir le pas : « Gardez les yeux ouverts, posez des questions dans votre commune, et regardez ce qui se passe sur les réseaux sociaux. »
Elle insiste sur l’importance de ne pas avoir peur de se lancer : « Il n’est pas nécessaire d’être expert. On apprend tout le temps ! »
Elle conclut avec un message plein de gratitude : « Merci à TM, particulièrement à Camille, à tous les bénévoles et surtout à ma maman qui me soutient et m’aide sur tous les stands. Bonnes fêtes à tous ! »
Engagez-vous comme Véro et rejoignez TM pour faire partie de la transition écologique et sociale !
La retraite comme terrain d’action citoyenne
À 63 ans, Guy, père de deux filles, grand-père comblé, bricoleur passionné et photographe amateur, a su transformer sa retraite en une période d’engagement et de création. On retrouve un citoyen qui fait de chaque journée une opportunité de contribuer à un monde plus responsable.
Guy se définit volontiers comme un citoyen engagé, à la fois dans son village et pour l’environnement. Pour lui, cet engagement va bien au-delà des gestes individuels. « Enfant, j’ai grandi proche d’un bois, un vrai paradis pour un enfant. Cette proximité avec la nature m’a marqué. Aujourd’hui, en tant que photographe, je retrouve cette connexion à la nature avec ses couleurs qui en font une inspiration. Pour préserver cette beauté, je me suis engagé, d’abord pour mes filles, et maintenant pour mes petits-enfants. Je veux transmettre cette conscience de la nature aux générations futures. »
Guy insiste sur l’importance d’un changement lent mais durable. « Le changement ne se fait pas en dix jours, ni même en dix ans. Cela prend du temps et nécessite de reconnecter les gens avec la nature. »
Bricoler peu importe l’âge
Avant sa retraite, Guy n’avait le temps de bricoler, pris par un emploi du temps professionnel et familial bien chargé. Mais en 2018, il a décidé de s’y mettre, trouvant dans cette activité une nouvelle source de satisfaction. « Chaque projet est un challenge : un tiroir, une figurine en bois, des petites choses comme ça. Ce que j’aime, c’est apprendre en essayant. »
Aujourd’hui, il consacre plusieurs jours par semaine à l’atelier FACILITEC où il s’investit comme bénévole. « Cet atelier, je l’ai découvert grâce à mon gendre. J’ai tout de suite été séduit par le projet, qui mélange créativité, nature et entraide sociale. »
L’engagement bénévole a changé Guy, notamment dans sa manière de voir le monde. « J’ai développé mon esprit critique. Ce que j’ai appris, c’est que la nouveauté fait souvent peur. Mais en discutant avec les autres, j’ai compris l’importance de s’ouvrir et d’agir, même à petite échelle. »
Un projet pour inspirer les générations futures
Guy rêve d’un projet avec la prochaine génération. « J’aimerais développer l’atelier avec des machines plus imposantes pour lancer des projets pour mobiliser plus de monde autour d’idées communes. » Il tient également à transmettre sa passion aux enfants. « J’ai des petits-fils, et je revis avec eux ce que j’ai vécu avec mes filles. Les enfants, c’est le futur. Pourquoi ne pas les accompagner à travers des ateliers manuels ou des projets créatifs ? Ils ont cette magie, cette vision du monde qui peut nous inspirer. »
Pour Guy, tout commence par une motivation. « On ne peut forcer personne à s’engager. Mais pour les seniors isolés, je conseille de trouver une activité qui les motive. Moi, l’atelier m’a donné une raison de me lever le matin et d’être discipliné. Il faut oser essayer. »
Guy incarne un exemple inspirant de transition entre la vie active et la retraite, montrant que l’engagement citoyen peut se réinventer à tout âge. Entre bricolage, photographie et transmission, il prouve qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre, créer, et surtout, agir.
Construire des liens et des espaces pour une communauté unie : rencontre avec Sraboni
C’est au cœur du jardin communautaire de Lallange, que nous rencontrons Sraboni, bénévole et expatriée indienne installée à Esch depuis six ans. Mère d’un jeune enfant, elle consacre son temps libre à faire vivre ce lieu d’échanges et de solidarité en redonnant vie au concept de communauté. Avec son énergie et sa passion pour le partage, elle incarne une citoyenne engagée, qui participe à la transformation de son quartier en un espace d’accueil et de convivialité pour tou.te.s.
Un engagement né du besoin de se connecter
Arrivée au Luxembourg, Sraboni a d’abord affronté les défis classiques de l’expatriation : la barrière de la langue et le manque de repères dans un pays nouveau. S’engager est devenu bien plus qu’une activité. « En arrivant au Luxembourg, j’ai dû surmonter de nombreux défis, comme la langue et l’éloignement de ma famille. Le jardin communautaire a été une révélation : non seulement j’y ai amélioré mon français, mais j’y ai trouvé une deuxième famille », explique-t-elle. « Les membres du jardin, comme Françoise, notre aînée de 82 ans, sont devenus une part essentielle de ma vie. » confie-t-elle.
En partageant son histoire, Sraboni nous rappelle que le bénévolat n’est pas qu’un acte altruiste : c’est un voyage personnel qui permet de construire des ponts entre les individus, de redonner un sens à la vie communautaire, et de trouver, parfois, une deuxième famille. Sraboni découvre le jardin grâce à un collègue de son mari. Elle y trouve un espace d’accueil ouvert à tou.te.s, sans jugement. « Le jardin porte bien son nom, « Les Quatre Coins du Monde », car il reflète la diversité des personnes qui le fréquentent », souligne-t-elle.
Sraboni est une fervente défenseuse de l’implication citoyenne. Son engagement, bien qu’initié pour améliorer son français et rencontrer des gens, s’est transformé en un moteur pour la communauté. Au-delà des défis, Sraboni voit dans le bénévolat une manière de rester connectée à la nature et de s’épanouir : « J’ai appris que les émotions fondamentales sont universelles. Que l’on vienne d’ici ou d’ailleurs, nous cherchons tous un sentiment d’appartenance. »
Si elle reconnaît les difficultés à mobiliser durablement les habitants, Sraboni considère son engagement comme profondément enrichissant. « J’ai appris que les émotions fondamentales, comme le besoin d’appartenance, sont universelles, peu importe d’où l’on vient. »
Son conseil pour ceux qui hésitent à s’impliquer ? « Faites-le. L’hésitation est normale, mais si vous n’essayez pas, vous ne saurez jamais ce que cela peut vous apporter. N’attendez pas d’être expert. Ce qui compte, c’est de participer, d’écouter et d’apprendre ».
À travers son implication, Sraboni incarne l’idée que le bénévolat peut transformer les individus autant que les communautés. Avec des projets comme la Casa Lallange, elle espère continuer à tisser des liens et à inspirer d’autres citoyens.nes à s’engager. « La vie est trop courte, n’attendez pas que quelqu’un vous accueille quelque part, si vous avez envie d’y aller, si vous avez envie de faire quelque chose, faites-le, nous ne savons pas ce que demain nous réserve, ne laissez personne vous retenir. »
Youngsub, 26 ans et engagé pour un monde meilleur
Youngsub est un étudiant de 26 ans, originaire de Corée du Sud, actuellement en stage en tant que data scientist. Aujourd’hui installé à Bettembourg, après avoir vécu à Esch, Youngsub se distingue par son engagement et sa vision d’un avenir plus solidaire.
Lorsque nous lui demandons s’il se considère comme un citoyen engagé, Youngsub répond modestement : « J’ai envie de dire un peu. Ma priorité est de protéger ma famille, mais je fais aussi de mon mieux pour protéger l’avenir de notre planète. À mon échelle, j’essaie d’aider mes voisins et de contribuer à un monde meilleur. ». Cet engagement, Youngsub le conjugue avec ses projets professionnels et personnels. Bien qu’il travaille souvent tard, il consacre environ deux heures par semaine au bénévolat, principalement le week-end. « C’est une question d’organisation. J’inscris mes actions dans un calendrier pour trouver un équilibre entre mon travail et le bénévolat, » explique-t-il.
Du mentorat au jardinage
Youngsub a débuté le bénévolat en aidant des étudiant.e.s en mathématiques. Plus récemment, il s’est investi dans le jardinage, une activité qui allie son goût pour la cuisine et son envie d’en apprendre davantage sur les ingrédients qu’il utilise. « J’ai commencé en juillet. Même si je n’ai pas de compétences particulières, j’apprends petit à petit. ».
Le jardinage, pour lui, est une manière d’explorer une forme d’autonomie alimentaire tout en contribuant à la communauté. Il voit dans cette démarche une habitude à cultiver. « Si je ne commence pas à aider aujourd’hui, j’ai peur de ne jamais le faire. »
Des défis et des apprentissages
Comme beaucoup, Youngsub a eu des appréhensions avant de s’engager. « S’impliquer pour la première fois peut être intimidant. On a peur de la responsabilité ou de l’effort requis. Mais une fois qu’on commence, on réalise que le bénévolat peut être amusant, parfois plus que de regarder une série sur Netflix. » De cette expérience, il retient aussi des compétences pratiques, notamment en jardinage : « J’ai appris des choses simples, mais essentielles, comme la taille des plantes ou la récupération de la terre. » Sur un plan humain, il souligne la joie de rencontrer des personnes partageant les mêmes valeurs : « Cela me rassure de voir qu’il y a des gens qui veulent rendre le monde meilleur. Cela me donne de l’espoir. » Pour ceux qui souhaitent s’engager, Youngsub recommande de « sortir de sa zone de confort » en participant à des événements. Il rappelle qu’il n’est pas nécessaire d’être expert : « La chose la plus importante, c’est l’intention. De nos jours, on peut tout apprendre, même sur ChatGPT, mais se lancer nous permet d’apprendre avec notre propre expérience ! » Enfin, il partage une ambition particulière : « Je rêve d’un système permettant aux gens de subvenir à leurs besoins de base, comme la nourriture et le logement. Une fois ces inquiétudes levées, les gens pourront s’ouvrir davantage et contribuer à leur communauté. »
Youngsub conclut avec un message inspirant : « Les personnes rencontrées dans ces projets sont toujours ouvertes, heureuses et prêtes à partager. Pourquoi ne pas rejoindre des initiatives aussi enrichissantes ? ». Youngsub incarne une jeunesse engagée et tournée vers l’avenir, déterminée à faire sa part pour bâtir un monde plus solidaire.
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